Difficile d’imaginer le futur du business sans transition écologique. Pour celles et ceux qui veulent conjuguer sens, employabilité et terrain, le Bachelor en environnement est une porte d’entrée stratégique. À l’ESI Business School, il est possible de faire un bachelor dans l’environnement, un parcours pensé pour développer des compétences directement mobilisables en entreprise tout en gardant une forte culture de l’impact.

Pourquoi un Bachelor en environnement maintenant ?

Trois tendances décisives tirent la demande de profils “green-ready” :

• Accélération réglementaire (reporting extra‑financier, exigences RSE) qui impose des méthodes et des indicateurs fiables.
• Transformation des modèles économiques (économie circulaire, décarbonation, sobriété) qui nécessite des managers opérationnels capables d’orchestrer des projets transverses.
• Attentes sociétales des clients et collaborateur·rice·s qui poussent les organisations à passer de la promesse à la preuve.

Le format Bachelor (bac + 3) séduit pour sa rapidité d’insertion : on acquiert un socle solide en management et en développement durable, renforcé par des projets et stages, avec la possibilité de poursuivre vers un bac + 5 ensuite si on le souhaite.

Ce qu’on y apprend concrètement

Un bon Bachelor en environnement ne se limite pas aux grands principes : il forme à l’exécution. Voici les blocs de compétences généralement travaillés :

• Management & pilotage de projet : cadrage, budget, indicateurs, gestion des parties prenantes.
• RSE & reporting : cartographie des enjeux, matrices de matérialité, suivi d’objectifs d’impact.
• Climat & décarbonation : bases du bilan carbone, priorisation des actions de réduction.
• Économie circulaire & achats responsables : analyse du cycle de vie, éco‑conception, sourcing durable.
• Marketing responsable & communication : preuves d’impact, lutte contre le greenwashing, narration de la valeur.
• Data & outils digitaux : tableurs avancés, tableaux de bord, veille réglementaire et technologique.
• Entrepreneuriat à impact : étude d’opportunité, modèle économique, expérimentation terrain.

Résultat : des compétences actionnables qui rendent crédible face à une direction générale, à un client ou à des équipes opérationnelles.

Débouchés : des métiers à impact dès la sortie

Après un Bachelor en environnement, on peut viser des fonctions opérationnelles et transverses :

• Chargé·e de mission RSE junior : animation et suivi des plans d’action.
• Assistant·e chef de projet décarbonation : collecte de données, mise en œuvre des “quick wins”.
• Coordinateur·rice économie circulaire : réemploi, tri, réduction des déchets, écoconception.
• Business developer greentech : développement commercial de solutions à impact.
• Assistant·e achats responsables : critères ESG dans les appels d’offres, relations fournisseurs.

Selon l’appétence, il est possible ensuite de poursuivre vers un bac + 5 (ex. management durable, stratégie climat, finance durable) pour se spécialiser sur des postes plus stratégiques.

Des projets concrets qui font la différence

Le point fort de ce type de parcours : apprendre en faisant. Quelques exemples de projets typiques :

• Réaliser un diagnostic RSE d’une PME locale et proposer une feuille de route priorisée.
• Construire un tableau de bord climat simple (scopes prioritaires, plan de réduction, planning).
• Organiser un atelier de sensibilisation (énergie, mobilité, déchets) et mesurer l’engagement.
• Monter une initiative d’économie circulaire (réemploi, collecte, revente, dons) avec indicateurs d’impact.

Comment bien choisir son Bachelor en environnement ?

Voici une check‑list utile avant de s’engager :

1. Ancrage métier : syllabus clair, projets réels, cas d’entreprises.
2. Équipe pédagogique mixte : académiques + professionnel·le·s du terrain.
3. Ouverture à l’alternance et aux stages : immersion longue en entreprise.
4. Évaluation par la preuve : livrables concrets, indicateurs, soutenances.
5. Écosystème : partenariats associatifs/entreprises, événements, concours.
6. Accompagnement carrière : coaching CV/LinkedIn, ateliers simulation d’entretien, job dating.

Profil recherché : pas que des “scientifiques” !

Le Bachelor en environnement accueille des profils variés :

• Littéraires/éco‑sensibles avec un vrai sens du projet et de la communication.
• Tech/datas aimant la mesure et les tableaux de bord.
• Commerciaux/entrepreneur·e·s orienté·e·s résultats et développement d’activité.

Les soft skills clés : curiosité, esprit d’équipe, rigueur, sens du concret, et capacité à convaincre avec des preuves d’impact.

Foire aux questions (FAQ)

Un Bachelor suffit‑il pour être employable ?
Oui, surtout si le programme mise sur les projets concrets et l’alternance. Ce niveau permet d’occuper rapidement des postes opérationnels à impact et de construire un portfolio de réalisations.

Faut‑il être “expert·e” climat pour candidater ?
Non. Le Bachelor pose les bases solides (RSE, climat, économie circulaire, data) et développe des compétences transverses. La spécialisation pointue peut venir ensuite (expérience pro, bac + 5, certifications).

Et si je veux entreprendre ?
Le Bachelor est un bon tremplin : on y apprend à tester une proposition de valeur, pitcher, mesurer l’impact et structurer un plan d’affaires responsable.

À retenir

• Insertion rapide : un parcours court, professionnalisant, en phase avec les besoins des entreprises.
• Compétences utiles : pilotage de projet, RSE, climat, économie circulaire, data, marketing responsable.
• Métiers concrets : chargé·e de mission RSE, coordinateur·rice économie circulaire, business developer greentech, etc.

Pour les étudiant·e·s qui souhaitent allier employabilité et sens, le Bachelor en environnement est une option cohérente et tournée vers l’action, avec la possibilité de poursuivre ou d’entreprendre selon ses ambitions.